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vendredi 23 novembre 2007

La répartition du terroir

Sur notre commune il y a trois massifs assez restreints : celui du Castelas, celui du Devin et celui du Piémont.



La répartition des terres se fait ainsi :


  1. 5% milieu urbain

  2. 25% milieu naturel

  3. 70% terres agricoles

Une des questions importantes qui se pose est le devenir de cette répartition.



mercredi 21 novembre 2007

Nos voisins immédiats

Notre commune est l'une des 36 000 de France. Mais elle très petite, 564 hectares.



Elle est entourée de quatre voisins plus vastes :
- La Motte d'Aigues au Nord Ouest,
- Peypin d'Aigues au Nord
- Grambois à l'Est
- La Tour D'Aigues au Sud

La superficie de Saint Martin est d'environ 1/100 000 ième de celle de la France

Les trois torrents

Notre petit terroir est parcouru par trois torrents :
  1. Le Riou traverse la commune de sa pointe Nord à sa limite Sud. Il se fraye un chemin dans des paysages variés, il est même sous-terrain sur une courte distance. Il nous sépare de la commune de la Motte d'Aigues.
  2. L'Ourgouze borde la partie Sud Ouest de la commune. Lorqu'on descend vers La Tour D'Aigues en passant par Sainte Catherine, on devine son lit ourlé d'abres en contre-bas sur la droite.
  3. Le plus secret se trouve le long du Devin. Il borde la commune sur sa partie Sud Est, dans un vallon très encaissé. Il n'a même pas de nom bien défini puisqu'on dit la Grand'Combe. Il nous sépare de la Commune de Grambois.

Le lit de ces torrents ( bien entendu propriétés privées ) représente une grande richesse en terme de faune et de flore. On y retrouve parmi les plus beaux arbres de la commune, et des espèces de plantes tout à fait différentes de ce qui se voit par ailleurs. Il suffit de regarder une image satellite pour se convaincre de la spécificité de ces petits ecosystèmes, et de leur fragilité.

Dans le passé devait courir un autre petit torrent, allant du Plan vers le Moulin ; en effet, le ravin qui longe le Chemin des Micoulètes dans sa partie Nord en témoigne, ainsi que trois ponts plus ou moins cachés par des ronces, et qui contribuent discrètement à notre patrimoine rural.

Un bon conseil

"Il faut donc nous méfier de ceux qui cherchent à nous convaincre par d'autres voies que par la raison, autrement dit des chefs charismatiques : nous devons bien peser notre décision avant de déléguer à quelqu'un le pouvoir de juger et de vouloir à notre place. Puisqu'il est si difficile de distinguer les vrais prophètes des faux, méfions-nous de tous les prophètes. Il vaut mieux renoncer aux vérités révélées, même si elles nous transportent par leur simplicité et par leur éclat, même si nous les trouvons commodes parcequ'on les a gratis. Il vaut mieux se contenter de vérités plus modestes et moins enthousiasmantes, de celles que l'on conquiert laborieusement, progressivement et sans brûler les étapes, par l'étude, la discussion et le raisonnement, et qui peuvent être vérifiées et démontrées."
Primo Levi, auteur de "Si c'est un homme". 1976

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Il y a trois possibilités :

Vous pouvez m'envoyer un e-mail qui ne sera vu que par moi.

Vous pouvez publier des commentaires qui seront vus par tous. Comme ce blog est dédié aux idées, vous éviterez cependant tout commentaire sur les personnes. Mais toutes les opinions, idées, utopies, suggestions, tous les projets, partages d'expérience, cris du coeur, coups de gueule .. sont les bienvenus.

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mardi 20 novembre 2007

Combien de Saint-Martinois ?

Au recensement de 1975 : 255, à celui de 1990 : 517, à celui de 1999 : 656
Le prochain est prévu en janvier 2008.
En 1999, nous avions 116 habitants au kilomètre carré.
Jeunes ou moins jeunes ? En 1999, nous avions 7% de plus de 75 ans, et 26,5 % de moins de vingt ans.
Au moment du recensement de 1999, la commune comportait 420 logements : 271 résidences principales, et 126 résidences secondaires ou occasionnelles. Les 23 logements restants avaient été déclarés vacants.
Sur ces 420 logements, 298 ont été construits après la guerre.
En 99, presque toutes les résidences principales sont des maisons individuelles. La grande majorité des habitants de la commune est propriétaire de son logement ( environ 70 % )
En 99 : sur 656 habitants, 291 étaient actifs. Sur ces actifs, 53 cherchent un emploi, les 238 autres travaillent. Sur ceux qui travaillent, 172 sont salariés. Sur ceux qui travaillent : 184 travaillent hors de la commune, une moitié dans le département et une moitié hors du département.
Il sera intéressant de voir les changements survenus en presque dix ans ..
Information technique : on parle de la population avec doubles comptes ( par exemple un étudiant compté chez lui et chez ses parents ) et de la population sans doubles comptes.
La population avec doubles comptes permet de calculer des paramètres budgetaires ou administratifs ( par exemple, certaines dotations ), la population sans double compte est utilisée pour la présentation des Statistiques.
Pour Saint-Martin de la brasque en 1999, la population totale est de 662 habitants.
Source : INSEE, recensement de 1999

lundi 19 novembre 2007

La vie de notre Village




Nous avons des associations, quelques commerces, une belle école, un marché paysan réputé.. Notre village et son terroir sont vivants !




Qui sommes nous ?











Pour parler de l'avenir, on peut commencer par décrire le présent .. Saint-Martin, en fait, c'est plus vaste qu'il n'y parait : il y a le Village, mais aussi les hameaux : Belle Etoile et les Furets. Et puis .. Les Clastres, le Castelas, le quartier de La Pavine , les Sarrières , j'en passe ..

dimanche 18 novembre 2007

Saint Martin de la Brasque au XXI ième siècle


Comment voyons nous notre village et son avenir ? c'est pour en parler que nous avons créé ce blog .. il est ouvert à tous les habitants du village qui s'interessent au devenir de la Commune.

Un maitre ...

Une Charogne

Rappelez-vous l'objet que nous vîmes, mon âme,
Ce beau matin d'été si doux:
Au détour d'un sentier une charogne infâme
Sur un lit semé de cailloux,

Les jambes en l'air, comme une femme lubrique,
Brûlante et suant les poisons,
Ouvrait d'une façon nonchalante et cynique
Son ventre plein d'exhalaisons.

Le soleil rayonnait sur cette pourriture,
Comme afin de la cuire à point,
Et de rendre au centuple à la grande Nature
Tout ce qu' ensemble elle avait joint;

Et le ciel regardait la carcasse superbe
Comme une fleur s'épanouir.
La puanteur était si forte, que sur l'herbe
Vous crûtes vous évanouir.

Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride,
D'où sortaient de noirs bataillons
De larves, qui coulaient comme un épais liquide
Le long de ces vivants haillons.

Tout cela descendait, montait comme une vague
Ou s'élançait en pétillant
On eût dit que le corps, enflé d'un souffle vague,
Vivait en se multipliant.

Et ce monde rendait une étrange musique,
Comme l'eau courante et le vent,
Ou le grain qu'un vanneur d'un mouvement rythmique
Agite et tourne dans son van.

Les formes s'effaçaient et n'étaient plus qu'un rêve,
Une ébauche lente à venir
Sur la toile oubliée, et que l'artiste achève
Seulement par le souvenir.

Derrière les rochers une chienne inquiète
Nous regardait d'un oeil fâché,
Epiant le moment de reprendre au squelette
Le morceau qu'elle avait lâché.

- Et pourtant vous serez semblable à cette ordure,
A cette horrible infection,
Étoile de mes yeux, soleil de ma nature,
Vous, mon ange et ma passion!

Oui! telle vous serez, ô la reine des grâces,
Après les derniers sacrements,
Quand vous irez, sous l'herbe et les floraisons grasses,
Moisir parmi les ossements.

Alors, ô ma beauté! dites à la vermine
Qui vous mangera de baisers,
Que j'ai gardé la forme et l'essence divine
De mes amours décomposés!

Les Fleurs du mal, Charles Baudelaire

dimanche 1 janvier 2006

1706 Une belle-famille bien intéressante

Cet arrêt causa au public une joie incroyable. Les marchands, les artisans avoient tenu leurs boutiques fermées. Dès six heures du matin, les salles du palais, les rues & les places d'alentour étoient remplies par la foule. Les juges furent reconduits chez eux par le peuple, avec des acclamations redoublées & M. Boyer d Aiguille, rapporteur, fut malgré lui reporté comme en triomphe dans sa maison.

Mais il survint des circonstances qui donnèrent un grand échec à cette faveur du public. A peine l'arrêt fut-il rendu que la femme d'un médecin de Toulon, nommé Serry, fit sortir le soldat des prisons, le fit habiller promptement, répondit au marchand des étoffes; & le mena en triomphe à Toulon dans la maison de son mari. Là ils lui firent épouser leur fille, avec dispense de deux bans; le dernier fut publié le jour même du mariage, pour prévenir toute opposition; la cérémonie se fit dans la chapelle des pénitens de Toulon.

Tout cela fut consommé en 15 jours, avant même que l'arrêt eût pu être signifié. Cette précipitation, disoit-on, pouvoit avoir pour motif la crainte que le soldat ne voulût pas effectuer le mariage projetté s'il eût eu son arrêt avant la célébration.

La mère de cette fille se nommoit de Villeneuve; elle étoit cousine germaine de M. de Villeneuve, l'un des juges ; cousine issue de germain de M. le président de Maliverny, gendre de M. d' Aiguille, rapporteur; le grand vicaire de Toulon qui prêta les mains à la célérité de ce mariage, étoit parent de M. d'Aiguille.

On sçut que c'étoit le médecin qui avoit fait tous les frais du procès; & avoit vendu les pierreries de sa femme & de sa fille pour fournir aux dépenses de l'enquête.

On fçut que, quand le procès fut sur le bureau, la mère & la fille allèrent exprès de Toulon à Aix pour le solliciter, logèrent chez M de Villeneuve leur cousin & l'un des juges & n'eurent d'autre table que la sienne. MM de Maliverny & de Villeneuve avouèrent eux-mêmes la parenté dans leur réponse à une sommation qui leur fut faite en octobre  1706 & M de Villeneuve convint de plus que la dame Serry avoit mangé chez lui pendant que le procès étoit sur le bureau.

On sait que la mère & la fille s'étoient donné beaucoup de mouvement pour la sollicitation & avoient employé auprès des trois magistrats dont on vient de parler tout le crédit que peuvent donner l'alliance & la parenté; qu'elles avoient encore dans le parlement un autre parent au degré prohibé, c'étoit M. de Villeneuve conseiller honoraire & que tous ces juges avoient du côté de leurs femmes plusieurs autres parens dans le parlement.

On sçut qu'aussitôt que l'arrêt fut rendu, la dame Serry délivra 5 000 livres pour le paiement des épices ( le rapport avoit duré 50 séances, sans compter celle où l'arrêt fut prononcé). Cette somme n'étant pas suffisante, le médecin envoya une procuration à un beau-frère qu'il avoit à Aix, nommé Boudon, à l'effet de s'obliger au restant du paiement pour la levée & de l'expédition de l'arrêt & cet acte portoit la réserve expresse des autres sommes & fournitures qu'il avoit avancées.

samedi 1 janvier 2000

1700 Rebondissement du procès Caille

Cependant M. de Caille père avait, le 1er janvier 1700, envoyé à Pierre Mouton, procureur au Parlement de Provence, sa procuration, avec pleins pouvoirs pour poursuivre l'imposteur et réclamer contre lui la peine capitale. A ces pouvoirs, il avait joint toute une procédure judiciaire, faite à Lausanne et à Vevey, touchant la vie, la maladie, et la mort de son fils. Le certificat de mort, légalisé par l'ambassade française en Suisse, n'avait pas été admis comme preuve par le juge de Toulon, la seule preuve reçue en France étant un extrait mortuaire. Or à cette époque, il n'était pas dressé d'acte mortuaire en Suisse. Le Parlement de Provence rendit, le 13 janvier 1700, un Arrêt ordonnant que l'accusé serait ramené à Toulon pour lui être son procès fait et parfait à l'extraordinaire, jusqu'à sentence définitive, sans préjudice du droit des parties et de leurs appellations. Le Soldat était déjà aux prisons d'Aix, déjà même il avait, à l'entendre, failli succomber sous une habile manœuvre de traîtres aux gages de son adversaire. Trois des hommes qui l'accompagnaient, ses conseils et ses guides jusqu'alors, Sylvi, Cléron et Carbonel, au lieu de le conduire par la grand'route, l'avaient, raconta-t-il, engagé dans des chemins détournés, lui avaient mis quarante louis dans la main et lui posant le pistolet sous la gorge, l'avaient voulu obliger à s'enfuir. Il produirait un témoin de ce guet-apens, le concierge des prisons de Toulon chargé de le conduire à Aix.

L'Arrêt qui rappelait le Soldat à Toulon était pour le déconcerter, mais il ne perdit rien de son assurance et joua un nouveau personnage. Il se refusa à répondre. Le Lieutenant Criminel de Toulon dut instruire son procès comme celui d'un muet. Le Procureur du Roi conclut à ce que l'accusé fût déclaré convaincu du crime de supposition de nom et de personne et, pour réparation, condamné à la peine capitale.

Le Soldat ne s'en montra pas ému le moins du monde et il est à supposer qu'il se savait quelque part des protecteurs dont il attendait quelque mouvement favorable à son procès. Le 8 mars les opinions recueillies, dont deux seulement étaient pour la condamnation du Soldat aux galères, le Lieutenant Criminel, conformément à l'avis de la majorité des voix, rendit une sentence interlocutoire qui ordonnait qu'avant faire droit, les parties feraient juger les appellations respectivement interjectées.

C'était là sans doute ce que l'accusé voyait venir, et là était la cause de son obstiné mutisme. Ce parent, qui, on se le rappelle, avait autrefois inventé sans succès l'histoire d'un fidéicommis, de Muges était à Toulon depuis le commencement du procès, mais il s'était tenu coi, feignant de ne vouloir se mêler de rien. Invoqué par le Soldat, il se trouva prêt sur l'heure à répondre. Il ne dit pas qu'il reconnaissait le Soldat pour son parent de Caille, car il n'avait jamais vu ce parent, mais il affirma que M. Imbert, vicaire actuel de la Bastide, et ancien prieur de Caille, lui avait donné sur Isaac de Caille des renseignements si complets qu'il n'était pas possible de ne pas reconnaître Isaac dans le Soldat de marine. Ce témoignage ne fut pas pour peu de chose dans les motifs de la sentence interlocutoire. M. Rolland interjeta appel de cette sentence, qui remettait tout en question. Mais l'accusé de son côté, comme appelant de toute la procédure criminelle, demanda au Parlement de Provence à faire preuve de son état.

Arrêt intervint le 18 juin 1700, par lequel l'accusé était admis à prouver qu'il est le fils du sieur de Caille, sauf à ses parties de faire preuve du contraire, si bon leur semble, sans préjudice des preuves du procès. Cet arrêt étant contradictoire, M.Rolland ne put en appeler.

Le Soldat se retrouvait de nouveau sur le terrain de l' enquête, c'est-à-dire qu'il lui était permis enfin d'exploiter la crédulité et la passion populaires. Il fut conduit à Manosque, à Caille, à Rougon. Son voyage fut un long triomphe. Il fit dans chacun de ces endroits son entrée au milieu d'une haie de curieux fanatisés, décidés à le reconnaître pour le jeune Caille d'autrefois. Il reconnut lui-même plusieurs des assistants, les nomma par leurs noms, leur rappela des particularités de son enfance. Il regarda les maisons avec intérêt, demandant la raison de quelques changements faits depuis son absence. Évidemment, l'imposteur avait préparé son terrain. On se rappelle l'aveu fait par lui d'un voyage secret à Manosque, sa connaissance parfaite de l'extérieur des monuments, sa complète ignorance des dispositions intérieures.

dimanche 1 janvier 1984

1384 Le Vicomte de Turenne, fléau de la Provence


Nous sommes en 1384.
Le comte de Provence, Louis Ier est mort, laissant son épouse Marie de Blois régente. Celle-ci entreprend de prendre possession de la Provence au nom de son fils Louis II. Mais se dresse sur son chemin le vicomte Raymond de Turenne. Celui-ci entend bien se venger par tous les moyens de la spoliation de ses droits,   infligée par Louis Ier : le comte avait en effet rattaché les biens du Vicomte au domaine comtal, en dépit d'accords passés entre la reine Jeanne et Turenne.

"Sur ces prétextes, il se dispose à prendre les armes. Il munit ses châteaux, il lève des troupes, il assemble ses amis & afin qu'ils ne se rebutassent pas dans la fuite, par respect pour ceux contre lesquels il va s'armer, il les traite de puissances imaginaires. Il en parle avec le dernier mépris. Il use de ces termes qui lui devinrent si ordinaires "Au Pape sans Rome, au Roi sans couronne, au Prince sans terre, à ces trois je feray la guerre". Ce dernier c'étoit le Prince de Tarante." Voir Histoire de la Provence

Fort de sa puissance, il possédait entre autres les chateaux ou forts à Brégançon, Roquemartine, la Mote du Caire, les Baux, le Puy Sainte Réparade, Meyrargues, Vitrolles, la Roque d Anthéron, Sigonce, Pertuis, la Tour d'Aigues, Monfuron, Châteauvert, Aurons .. le vicomte sème donc la terreur et la mort dans toute la Provence pendant plus de dix ans, jusqu'au 17 Juillet 1399.

mardi 18 avril 1978

1378 Grand schisme d'Occident à Saint-Martin de la Brasque

A Saint-Martin de la Brasque, nous sommes bien voisins des Etats-Pontificaux et le grand Schisme d'occident, qui dura 30 ans, nous touche de près. En effet, il participa de toutes les luttes politiques autour de la Provence, chacun des deux papes étant identifié à un "camp".

De quoi s'agit-il ?

Les papes résidaient en Avignon depuis 1309 et souvent n'étaient pas italiens. Mais ceci ne plaisait pas tant aux Romains et le 18 avril 1378, l'archevêque de Bari devient pape à Rome sous le nom de Urbain VI dans des conditions un peu houleuses. Les comtadins n'en restent pas là et le cardinal Robert de Genève élu à Fondi, près de Rome, prend le titre de Clément VII le 18 avril 1378.  C'est le grand schisme d'Occident. 

Qui soutient qui ? 
- du côté des Clémentistes, notre reine Jeanne, le roi des français, Charles V, leurs alliés. 
- Du côté opposé des Urbanistes : les ennemis du royaume de Naples, dont l'Italie du Nord et les  royaumes angevins de Hongrie et de Pologne, les ennemis de Charles V, dont Angleterre et Flandres.

Le saviez-vous ? Nous sommes donc des Clémentistes.

( source Wikipédia )